Approfondissement :
Charles Baudelaire dans son recueil Les Fleurs du mal, publié en 1857 propose plusieurs poèmes qui sont le fruit d’émancipations créatrices propres à la poésie du XIXe siècle. Dans « Une Charogne » notamment, il parvient à saisir le beau dans l’évocation d’un cadavre, un peu comme Rimbaud saisira la beauté de son personnage dans « Venus anadyomène », en dépassant les clivages du beau et du laid.